Et si chaque fin n’était qu’un nouveau commencement ?

Cette histoire ne parle pas seulement d’abandon. Elle raconte surtout une métamorphose. Evelyn, comme beaucoup de femmes de son âge, a tout donné. Mais contrairement à d’autres, elle a aussi su préserver une part d’elle-même, en secret. Elle s’est offert le luxe suprême : la liberté de tout recommencer, sans devoir rendre de comptes.
Et si nous suivions son exemple ? Si nous osions croire qu’aucune situation n’est définitive ? Que même dans les moments les plus sombres, il existe toujours une issue – discrète mais bien réelle – vers une vie que nous choisissons ?
Parce qu’il arrive qu’on doive être poussé vers la sortie pour enfin oser ouvrir sa propre porte.