En face d’elle, Alexandre conduit. Calme en apparence, concentré. Une main sur le volant, l’autre sur sa cuisse. Tapotements nerveux, gestes mécaniques. Le silence est seulement rompu par une musique classique, sans paroles, presque dénuée d’émotion. Ils se rendent à un lieu chargé de souvenirs : le lac de leur enfance, leur refuge d’autrefois.
Entre souvenirs doux et réalité glaciale
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