- Toujours le cuire : le manioc cru est à éviter, surtout ses feuilles et sa peau.
- Le faire tremper : dans certaines recettes, le manioc est râpé puis trempé dans l’eau pendant 24 à 48 heures, ce qui aide à éliminer les toxines.
- L’éplucher soigneusement : car c’est dans la peau que les substances indésirables sont les plus concentrées.
- Le consommer dans le cadre d’une alimentation équilibrée, notamment riche en protéines (œufs, poisson, légumineuses…).
Le manioc : ami ou ennemi ?
Comme beaucoup d’aliments, tout est une question de dosage, de contexte et de préparation. Ce n’est pas le manioc en soi qui est dangereux, mais le fait de négliger sa transformation. Dans de nombreuses cultures, ces savoir-faire sont transmis de génération en génération – et c’est ce qui rend ce tubercule aussi précieux qu’universel.
Alors, si vous avez envie de tester une nouvelle recette venue d’ailleurs ou d’ajouter une touche d’originalité à vos plats, pourquoi ne pas vous laisser tenter par le manioc ? Bien préparé, il peut devenir un incontournable sain, savoureux et original.
Parce qu’un plat bien préparé, c’est aussi une belle manière de prendre soin de soi.