Mais non.
Il est revenu à l’université. Incognito. Pour écouter, observer, transmettre. Pour être là, simplement. Parce que, comme il le dit :
“Je me souviens de cette sensation d’être invisible. C’est pour ça que je n’ai jamais voulu oublier les autres.”
Un changement profond, bien au-delà des mots
Ce jour-là, tout a changé. Les étudiants se sont mis à saluer les agents d’entretien, le personnel de restauration, les agents de sécurité. Élise a lancé un projet d’accompagnement pour aider le personnel à valoriser leurs compétences. Une prise de conscience. Un avant/après.
Et Julien ? Il a annoncé une nouvelle bourse. Une aide non fondée sur les notes, mais sur… la bienveillance. Oui, vous avez bien lu. Parce que le vrai mérite, ce n’est pas toujours ce qu’on affiche sur un CV. C’est ce qu’on fait quand personne ne regarde.
Et si la grandeur, c’était justement de ne pas chercher à briller, mais à éclairer les autres discrètement ?