ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

Cette photo dégage tant d’émotion qu’elle mérite d’être vue aux quatre coins du monde…

Et depuis, il veillait sur elle.

Certaines familles ont commencé à lui laisser de l’eau, des restes de repas. Les enfants lui apportaient des caresses, qu’il acceptait timidement. Mais jamais il ne s’éloignait longtemps. C’était comme si, dans sa tête, il s’était donné une mission : ne pas l’abandonner, même dans la mort.

Le temps a passé. Les saisons ont changé. Les fleurs qu’on posait sur la tombe fanent et renaissent. Les gens du cimetière changent, les visiteurs vont et viennent. Mais lui, il reste. Il est devenu une présence familière, silencieuse, presque sacrée. Le gardien l’appelle aujourd’hui « le veilleur ».

Un matin d’hiver, on ne l’a pas vu venir. Ni le lendemain. Ni la semaine suivante. Certains ont craint le pire. On a cherché autour, dans le village, dans les bois. Mais il était parti. Parti comme il était venu : doucement, sans bruit.

Et pourtant, certains jurent encore qu’ils l’ont aperçu, couché paisiblement sur la tombe, les jours où la lumière du soir devient dorée, les jours où le vent est doux.

Peut-être que l’amour, le vrai, ne meurt jamais.
Peut-être qu’il reste, là où il est né, même quand tout s’efface.
Peut-être qu’il y aura toujours, quelque part dans le monde, un chien qui attend, simplement parce qu’il a aimé.

Merci de ton émotion et de ta fidélité à cette histoire. Voici la suite, imaginée comme une seconde partie plus introspective, avec un mélange de réalité, d’espoir et de mémoire :

ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

Laisser un commentaire